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 Concour du journal intime

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3 participants
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Remus Lupin
Gryffondor
Remus Lupin


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MessageSujet: Concour du journal intime   Concour du journal intime EmptySam 11 Mar - 22:39

A cause du piratage des forums, le concour du Journal intime d'un personnage d'Harry Potter n'a pas eut de vainqueur, c'est pourquoi je remet ce concours afin de désigner le gagnant.


Je demande à tous ceux ayant posté leur "Journal intime" de bien vouloir le remettre afin de conclure ce concour.

Merci de votre comprehension.


1er Arrow 50 points pour sa maison
2ème Arrow 25 points pour sa maison
3ème Arrow 10 points pour sa maison

Date limite pour remettre sa création : 17 mars


Dernière édition par le Sam 11 Mar - 22:50, édité 1 fois
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Remus Lupin
Gryffondor
Remus Lupin


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MessageSujet: Re: Concour du journal intime   Concour du journal intime EmptySam 11 Mar - 22:45

Un journal pour deux ou les petits secrets des jumeaux Weasley

Ecrit par Fred
Ecrit par Geoges

J-14 avant notre départ :

Nous sommes dans la salle-sur-demande, il est 2 heures du matin.
Fred et moi continuont à mettre au point notre départ. Nous tenons à marquer les esprits des élèves et à entrer dans la légende de Poudlard.

Mais avant de partir nous avons décider de frapper fort et de semer le bazard dans Poudlard. Ombrage est un tyran elle va voir ce dont sont capables les jumeaux Weasley !
Nous avons pour projet de fabriquer toute sort d'objet. Ce soir nous mettons au point nos feux d'artifices. Une caisse est déjà prête. Plus nous faisons de feux d’artifice plus nous trouvons de nouveaux modèles.
Je note avec soin les composition, pour pouvoir en refaire facilement.
Il est à présent 4 heures du matin , nous allons nous coucher et ça y est tout est fin près !


J-13

Les autres nous trouvent une tête bizarre, normal on a presque pas dormis ! Georges laisse tomber sa tartine dans son bol au petit déjeuné, sans commentaire !!!!
Premier cours de la journée : histoire de la magie, rien de tel pour se réveiller !

Fin des cours : Fred a fait exploser la moitié de la sale en potion ! Une réelle rigolade ...sauf pour lui évidement !
Ce soir, on se repose sinon on sera crevé demain


J-12

La répression est de plus en plus forte mais nous on s’en moque le feux d’artifices est prévu pour demain. On ne peut plus se regrouper dans les couloirs, ils nous faut rester toujours en vue d’un des membres de sa brigade.
Fred trouve le moyen de se faire remarquer en cours : il pend un bonbon de notre boite à Flemme ce qui le fait vomir. On l’envoie à l’infirmerie. Je me retrouve seul en cours, quelle horreur !
Je retrouve Fred pour le dîner en pleine forme.
Le soir nous allons chercher notre préparation et la mettre en place derrière une porte camouflée par un rideau.


J-11

Ce matin nous sommes d’une très bonne humeur. Une journée historique s’annonce !
En début d’après midi nous rejoignons notre cachette puis quand il n’y a personne dans les couloirs nous faisons exploser la première caisse qui entraîne la seconde ainsi de suite. Nous sommes toujours cachés. Le crapeaux arrive, il y a déjà bon nombre d’élèves qui alertés par le bruit sont venus voir ce qui se passait . On voyait des dragons verts et or illuminer le couloir, des soleil fleurissement de partout, des fusées laissaient dans leur sillage des traînés de toutes les couleurs.
Ombrage est paniquée : quel plaisir ! Elle cherche à les stupéfier ce qui n’a pour effet que de les faire se diviser …
Puis la porte s’entre ouvre et un jeune garçon entre. Nous sommes en train de rire. C’est Harry . « Impressionnant » il nous dit. Georges murmure en pouffant qu’il voudrait qu’elle lance le sortilège de Disparition, ça les multiplient par dix !

Les feux s’échappent pour aller dans tout Poudlard; quand nous reprenons les cours nous sommes souvent interrompus par un dragon, un soleil ou encore un fusée. Alors l’inquisitrice arrive essoufflée et tente de les faire disparaître… même Mc Gonnagal sourit !
Nous sommes fêté en héros dans la salle commune. « Comment on-t-ils su que c’était nous ? » se demanda Fred.


J-9

La journée du lendemain fut aussi agitée par des feux d’artifice. Tous les élèves ne parlent que de ça… au grand désespoir d’Ombrage. La journée se passe normalement. Le soir nous faisons une expédition à Près au Lard pour chercher la matière première de notre grand départ. On prend le souterrain habituel, aucun problème à l'aller.
A Près-au-Lard, on retrouve notre vendeur habituel. Autour d'une bonne bieuraubeure, on marchande les prix. Nous achetons tous ce qu'il faut pour faire des marécages Georges achète des chapeaux. Je ne sais pas pourquoi faire mais il a son idée !

Retour à Poulard : le tyran rode !!!! Nous sommes contraint de nous réfugier dans une armoire avec tous nos achats. Impossible de sortir le crapeaux à planté son siège dans le couloir. Nous sommes contraint de passer la nuit dans la placard.
Je précise que Georges sent des pieds. Voyez mon calvaire !


J-8

Matinée ensoleillée, idéal pour une petite farce façon Wesley. Nous arrivons en cours avec le tyran. Nous avons au préalable était voir Peeves, ce gentil esprit. Quelle joie de la voir dévaster la classe !
Demain nous n’avons pas cours aussi nous descendons aux cuisines chercher de quoi faire une petite fête chez Gryffondor. Les elfes nous connaissent bien maintenant !
Ce soir là grande fête dans la salle commune. Nourriture et boissons garantie ! Nous avons même fait monter du whisky-pur-feu : Ron est dans un état lamentable !


J-7

Notre dernière semaine à Poudlard commence. On n’écoutent même plus les cours, toutes notre attention est porte sur notre projet. La Brigade devient insupportable, Gryffondor a perdu un nombre de point incalculable!
Georges dira même : « on compte nos points en négatif à partir de maintenant ? »
Par-dessus tout il fait un temps exécrable nous sommes obligé de resté enfermé dedans. Le soir Ombrage réunit tous les élèves dans la Grande-Salle pour réaffirmer son autorité et prétend être juste ! Vaut mieux entendre ça que d’être sourd !
Enfin ça nous fait une soirée de perdue.


J-6

Nous avons perdue une soirée la veille, il nous faut la rattraper. Notre marécage n’est pas près . Nous avons réussi à en créer un mais pas à le faire durer plus de 10 minutes, or le notre doit être permanant si on ne le touche pas. Il est minuit quand Fred trouve enfin la solution. Le soir nous sommes repartis dans la Salle-Sur-Demande. Nous mettons au point notre plan de départ. Nous nous préparons entre autre au sortilège d’Attraction.

J-5

Ce jour là Harry vient nous voir. Il veut pénétrer dans le bureau d’Ombrage. C’est risqué mais la raison en vaut la peine , Sirius est en danger. Nous allons donc lui faire un diversion pour attirer Ombrage loin de son bureau . On fait coup double : on aide un ami et on s’en va!

J-4

Pendant le temps qui nous sépare du jour J nous nous tenons tranquille afin de na pas nous faire remarquer.

J-3

Rien à signaler. Pour ne pas paraître suspect, on révise comme tous les autres.

J-2 et J-1

Belle journée, mais on révise toujours comme tous les autres.

Jour J

Reprise des cours. C’est la rentrée des vacances de Paques.
Cette après midi là à l’heure prévue nous formons le marécage dans le couloir de Gregory le Hautain. Aussitôt une foule d’élève l’entoure. Ombrage nous regardait d’un air triomphant.

Fred pris même le luxe de lui répondre que « oui il trouvait amusant de transformer un couloir en marécage » . Rusard agitait un formulaire qui l’autorisé à nous fouetter. Décidant que cela avait assez duré nous firent nos adieux à Poulard: On cria en même temps accio balais, on enfourcha nos balais et on sortit non sans faire la publicité notre magasin ! On salua notre ami Peeves et à nous la liberté !
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Severus
Invité




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MessageSujet: Journal de la mère d'Hermione   Concour du journal intime EmptyDim 12 Mar - 3:52

20 Décembre

Je suis si contente... ma fille, ma petite Hermione va arriver dans 3 jours pour passer les vacances de Noel avec nous… Elle me manque tellement, la revoir va apaiser cette douleur… Je sais qu’elle se plait dans son monde sorcier mais j’ai peur de la perdre vu que je n’y appartiens pas…

22 Décembre

Tout est enfin prêt pour son arrivé… Je vais la cherche demain matin sur le quai du train… J’ai hâte de voir comment elle a grandi, si elle a beaucoup changer ? J’espère qu’elle nous racontera comment elle vit là-bas dans son monde… Je sais que je ne dormirai surement pas cette nuit… trop excité de sa venue pour les vacances… J’ai tellement hâte de la serrer dans mes bras… Ma fille… mon unique fille…

23 Décembre

Hermione est là… mais elle a tellement changé… je ne la reconnais plus… Elle a l’air contente de nous voir mais on dirait qu’elle cache quelque chose… Je vais essayer d’en savoir plus… Mon mari me dit de ne pas m’inquiéter, que c’est du au changement, la différence de nos deux monde, l’adolescence même… mais j’ai besoin de comprendre… Je ne veux pas que ma fille s’éloigne de moi comme ça….

28 Décembre

Je pleurs, j’ai mal… Je me cache pour qu’elle ne voit pas ma peine… mais elle en est la cause… elle est si différente… Elle a passé les derniers jours le nez plonger dans ses livres scolaires, ne s’éloignant de ses livres que pour manger… Même à Noel nous avons du faire pression pour qu’elle se joigne nous… Elle a l’air à se sentir mal dans sa propre famille… Je sais qu’on n’est pas comme elle… Mais je ne peux me résigner à l’idée que ma fille soit si différente…

3 Janvier

Dans 2 jours elle repartira vers son monde… Dans 2 jours ma fille nous quittera à nouveau pour quelque mois… Dans 2 jours mon cœur de mère se brisera à nouveau… Je sais qu’elle est bien là-bas, qu’elle est heureuse… Pour son bien, son bonheur je sais que je vais la laisser partir… Je veux qu’elle soit heureuse et je suis prête à sacrifier mon bonheur pour ça…

5 Janvier

Lorsque nous arrivons sur le quai elle est radieuse… Elle a de la misère à tenir en place tellement elle est excité de revoir ses amis… J’aurais aimé qu’elle ait la même réaction à l’idée de venir passer Noel avec nous… C’est comme si un poignard venait de me transpercer le cœur… Je réalise vraiment jusqu'à quel point j’ai vraiment perdu le lien qui m’unissait à ma fille… Je retiens mes larmes du mieux que je peux… Je m’efforce de sourire un peu… Lorsque le train démarre doucement j’en peux plus… j’éclate en sanglot… Mon mari, médusé, passe ses bras autour de moi… essayant de me réconforter…

15 Juin

Aujourd’hui j’ai envoyé une lettre à ma fille… Une lettre pour lui donné mon accord pour qu’elle passe son été chez une famille de sorcier avec qui elle est amie… La lettre fut déchirante pour moi à écrire… mais j’aime mieux savoir ma fille loin de moi mais heureuse… Je sais qu’elle m’aime et qu’elle pense souvent a moi… Je sais que son monde et le mien sont différent… et j’ai enfin réussi à accepter… Je suis fière de ma fille et je l’aime, ainsi que sa différence… La différence qui l’a éloigné de moi… mais qui l’a fait devenir l’enfant heureux que j’ai toujours voulu avoir… Une fille forte et souriante… Une fille remplie de bonheur…
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Mia M. Gaunt
Serpentard
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MessageSujet: Re: Concour du journal intime   Concour du journal intime EmptyLun 13 Mar - 16:45

Journal intime du petit vous savez qui

Mardi 12 août.
Je n’ai pas l’habitude d’écrire des mémoires. Je trouve qu’il y a trop de gens qui tiennent un journal intime, et je me refuse l’idée d’entrer dans ce qui est du domaine de l’ordinaire ou du commun. Mais j’ai pensé à une chose : écrire des pensées ou relater des événements par écrit permet de garder une certaine trace de ce qui deviendra un jour mon passé… Et l’idée de « trace » me plaît bien…

Si ce soir je commence à ne plus suivre les propres règles que je me suis fixées, c’est que j’ai désormais la preuve vivante que je suis différend, voir quelqu’un d’exceptionnel. Je me le suis toujours dit, mais c’est très bon d’en avoir la preuve officielle.
Comme chaque année, Mrs Cole nous a amené en vacances au bord de la mer. Nous y sommes resté une semaine, et nous repartons demain. Mis à part les activités plus ou moins idiotes qu’on nous a donné à faire, nous avons pu avoir un peu de temps libre ces derniers jours. J’aime bien me promener seul, penser à des choses, prendre le temps que je veux. Mais ça ne m’a jamais vraiment été possible, parce que il y en a toujours qui trouvent le moyen de m’énerver ou de briser ma tranquillité.
J’étais descendu pour aller voir de plus près une grotte. J’adore les grottes. Elles sont si mystérieuses, si sombres… J’aime entendre l’écho assourdissant des gouttes d’eau qui tombent et explosent à la surface des flaques dans un rythme toujours constant : flic, floc, flic, floc…
Amy Benson et Dennis Bishop ont trouvé bon de me suivre. Tant pis pour eux. J’ai fait comme si je ne les avais pas vu. En réalité, je déteste les gens qui ne me laissent pas tranquille quand je le demande. Je leur avais dit que je voulais être seul. Ils sont venus quand même ? Très bien, ils en ont tiré une bonne leçon. Car il y avait à ce moment là sur un rocher une couleuvre, qui rampait doucement sur la surface corailleuse. Amy a poussé un de ces cris inutiles qui ne font qu’effrayer encore plus l’animal. Je déteste ce genre de réaction stupide… Enfin, ce qui s’est passé, c’est que j’ai demandé à la bête ce qu’elle faisait là, sur une plage fouettée par le vent, alors que sa place était ailleurs. Je ne prenais pas au sérieux mes paroles, bien que j’aurai trouvé amusant que le serpent me comprenne, juste pour effrayer les deux gamins…
Mais il s’est avéré que le serpent m’a répondu, et je ne sais pas par quel prodige, j’ai comprit à mon tour ce qu’il disait ! Je me suis alors découvert un don : celui de parler aux serpents. Je suis très content, car les deux gosses ont été impressionnés, et c’est encore avec ce genre de réaction dans mon entourage que je me sens le mieux. Je suis certain que c’est un don très peu répandu, et grâce à lui je cultive ma différence, ce qui me plaît beaucoup.

Jeudi 14 août.
Je déteste cette vieille bonne femme, Mrs Cole ! Je ne l’ai jamais aimée, mais là je crois que je la hais. Elle croit que j’ai brutalisé Amy Benson et Dennis Bishop… Je ne les ai même pas touché !
Mrs Cole m’a demandé tout à l’heure des explications. Je n’ai aucun compte à lui rendre à cette vieille pie ! De toutes façons, me croirait elle si je lui disais que les deux autres sont terrorisés depuis qu’ils m’ont vu parler au serpent et lui demander de faire mine de les attaquer ? NON. Elle me prend pour un fou. C’est moi qui suis dans une maison de fous !

La vérité est là : je parle aux serpents, je suis un garçon exceptionnel et ça ne plaît pas, ça dérange. De toutes façons, quoique cette vieille chouette me dise ou m’ordonne, je saurai me défendre comme il se doit. Je ne me laisserai pas faire, car je trouve toujours le moyen d’arranger les choses à ma façon…

Vendredi 15 août.
Rien de très important à mes yeux aujourd’hui. Nous avons encore fait des activités idiotes, mais ce n’est pas nouveau, ça devient même parfois lassant….

J’ai juste volé cet après midi un harmonica que je trouvais d’aspect intéressant à un garçon du groupe des petits. Il n’avait qu’à pas le laisser traîner… Le petit a accusé son meilleur ami. On voit comme la confiance règne dans l’amitié, c’est vraiment désolant … Enfin, le plus intéressant c’est de voir le petit faire la tête à son ami. Il a déjà perdu son objet, et par manque de confiance il en perd un proche…
Je déteste les sentiments, et j’espère n’en avoir jamais. La preuve en était aujourd’hui. Moi je ne fais confiance en personne, et ce n’est pas une habitude que je vais perdre, au contraire, je crois qu’elle grandira en même temps que moi !

Samedi 16 août.
Un homme que je n’avais encore jamais vu est venu me rendre visite aujourd’hui. Je vois dans ces moments là l’utilité d’écrire un journal, pour conserver une trace écrite de certains événements importants. Celui là en est un. L’homme m’a plus ou moins fait comprendre les raisons de mon caractère exceptionnel, et pourquoi il m’arrivait de plus en plus de choses étranges.

Je suis un sorcier et je vais pouvoir dès cette année aller dans une école de Magie qui s’appelle Poudlard.

Au départ j’ai vraiment cru que cet homme venait de la part de Mrs Cole pour m’envoyer dans un asile, comme elle me l’avait annoncé plusieurs fois ces jours ci. Mais cet homme là n’avait rien à voir avec des fous, bien que son accoutrement sortait de l’habituel.

J’ai comprit par son intermédiaire les raisons pour lesquelles il m’arrivait parfois des choses étranges, comme déplacer des objets ou faire mal aux gens que je n’aime pas sans agir directement.

En revanche, bien que ce qu’il m’ait annoncé m’est fait intérieurement plaisir, je n’aime pas cet homme, le professeur Dumbledore, je l’ai trouvé bien trop sûr de lui et capable de se mesurer à moi sans difficultés. J’ai dû faire mon aimable, lui montrer plus de respect pour lui que j’en aurais souhaité.
Si Poudlard peut m’être utile pour mon futur, je crois que cet homme là sera volontairement toujours derrière moi pour me surveiller. Je ne le connaissais même pas depuis une demi heure qu’il m’avait déjà donné des ordres. J’ai du utiliser la politesse et la courtoisie, pour être enfin débarrassé des premiers soupçons qu’il aurait eu de moi s’il me connaissait mieux.

Et puis, il fallait que je sois prudent, car Dumbledore était arrivé auprès de Mrs Cole, ce qui voulait sans doute dire qu’il avait eu un entretient avec elle dans son bureau avant de venir.
Elle en avait sans doute profité pour lui exposer tous les problèmes qui me concernaient. Oh oui, je la déteste !

Mais je suis assez heureux, car je vais pouvoir partir d’ici dans très peu de temps, et ne revenir que pour les grandes vacances. Enfin, je pourrai me mesurer à des sorciers comme moi, et voir si dans ce monde également, je sais me distancer des autres et me montrer volontairement différent. Je sens que je vais passer une année très agréable…

Lundi 18 août.
J’ai eu tout à l’heure l’autorisation de sortir de l’orphelinat pour faire mes premiers achats pour Poudlard. J’ai donc consacré tout mon après midi pour cela.

Dumbledore m’avait donné hier une bourse pleine de pièces étranges, destiné à payer mes fournitures. J’avais tout à acheter, mais je n’y connaissais rien du tout. Je déteste devoir découvrir des choses quand les gens autour de moi les connaissent déjà. Et le professeur avait eu la mauvaise idée de me proposer d’aller avec lui…. De quoi se mêlait il ? Les gens autour de moi auraient encore plus facilement remarqué mon incompétence et mon ignorance envers le monde des sorciers et des habitudes qu’il nous donne.
Il fallait que je me débrouille seul et c’est ce que j’ai fait. J’ai pu tout découvrir de moi-même, à la vitesse que je souhaitais, et j’ai réussi à paraître assez sûr de moi pour faire croire que j’étais déjà venu sur place au moins une bonne dizaine de fois. Les gens m’ont prit en considération et j’ai rapidement sentit que je faisais partie intégrante de leur univers, à mon plus grand bonheur.

Je ne cherche pas à me faire des amis, je n’en ai jamais voulu et je crois que je n’en aurai jamais besoin. La seule chose qui me porte à intérêt, c’est d’amadouer le plus de personnes possibles, et ce, le plus tôt qu’il soit, car les gens qui se sentent flattés vous prennent en considération, se rappelle de vous, et le jour où vous aurez besoin d’un service, ils vous le rendront gratuitement.
Je crois que dès aujourd’hui, je me suis fait une bonne dizaine de connaissances parmi les commerçants comme parmi les passants, et que ces gens se rappelleront de moi en temps voulu.

J’aime savoir qu’en ce moment même, il y a quelqu’un qui parle de moi et de ce que je lui ait dit dans la journée.

Je fais désormais partie intégrante du monde sorcier, et je sais qu’il en faudra beaucoup pour m’en éloigner…
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Candice Aurora R. Lupin
Serdaigle
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MessageSujet: Re: Concour du journal intime   Concour du journal intime EmptyMar 21 Mar - 2:11

Journal intime d'une belle fleur...


C’était par hasard qu’il avait découvert cette pièce. Ou plutôt en fuyant Rusard.
Miss teigne l’avait repéré au détour d’un couloir du septième étage. Alors qu’elle avait disparu en courant et miaulant afin d’appeler son maître, il avait dévalé les escaliers et atterri dans un couloir sombre du troisième. Il ouvrit la première porte qui se présenta à lui et s’enferma dans la classe. Il se retourna, les yeux fermés, le souffle court et se laissa glisser contre la porte. Que ne fut sa surprise en découvrant qu’il n’était pas dans une simple classe d’étude !
Les habituels murs grisâtres, tableau poussiéreux et tables de travail avanies été remplacés par un lit, une commode et une armoire. Une double porte donnait sur le parc. Les murs, quand à eux, étaient recouverts de tapisseries, de tentures et de tableaux en tout genre. Animés, bien évidemment. Mais ces personnages semblaient ne pas être conscient de sa présence. Ils étaient tous encore endormis.
Le jeune homme se leva et traversa la pièce. Quelle était cette chambre ? Pourquoi ne l’avait-il jamais vue ? Il était pourtant sur de connaître tout les recoins du deuxième étage !
Il passa un doigt sur la commode : la poussière accusait le temps de l’avoir oubliée et avait formé une épaisse couche blanchâtre. Sur la petite coiffeuse, un cahier était ouvert, pres d’un pot de fleur. Celui-là même que quelqu’un avait essayé de dessiner à l’encre verte. Il était doué, cela va sans dire…
Il ouvrit un des tiroirs. Et là, surprise, un cahier bleu. Il le retira et l’ouvrit.


Journal Intime.


Un beau narcisse coloré dansait sur la feuille au rythme du vent qui la berçait. Il tourna les pages. Vides. Elles étaient toutes vides. Il chercha dans sa poche et trouva une vieille plume rabougrie à encre intégré. Il s’assit sur le lit (en soulevant une véritable tempête de poussière) et arracha à celui-ci une plainte de douleur.
Il prit de nouveau la plume et attendit. La réponse (ou plutôt question) ne tarda pas. Il écrivit.


Je m’appelle Drago et je désire lire ton contenu.

A la vitesse de l’éclair, d’autres mots apparurent.

Ma maîtresse gardait le secret espoir qu’un jour son enfant lirait ces pages. Mais pas toutes. Je ne te montre que ce que tes yeux sont dignes d’apprendre…

Les pages tournèrent, comme emmenées par le vent, tandis que Drago se posait de plus en plus de questions. Ce journal appartenait à sa mère ? Comment la froide et hautaine narcissa Malefoy pouvait-elle éprouver des sentiments et, pire, les retranscrire dans un journal ?

Samedi 25 décembre.
16 h 33.


Cher journal,
A quelques heures du bal, je n’ai toujours pas de cavalier et Lizzy commence sérieusement à m’agacer. Aussi l’ai-je laissée dans le parc en compagnie de Zabini, prétextant que j’allais me préparer. Comment peut-elle me juger ? J’ai le droit d’aller seule à ce fichu bal ! De plus, je suis sure que je vais m’y ennuyer. Je sais que Lucius sera là, mais comme il ne m’adresse pas la parole, la soirée risuae d’être monotone. Je me demande même si je vais vraiment y aller. Quoiqu’il en soit, j’ai enfilé ma robe bleue, celle que ma mère m’avait acheté en Bulgarie. Pas de bijoux, pas de maquillage. J’ai juste ramassé ma chevelure au dessus de ma tête. Le résultat est assez commun, je dois l’avouer. Mais qui charmerais-je ?
Voici Lizzy qui s’amene. Je continuerai plus tard.

Samedi 25 décembre.
17 h 59.


Elisabeth m’agace peut-être les trois quarts du temps, mais quand elle veut, elle peut-être adorable ! Une véritable amie !
Quelle ne fut son indignation quand elle me vit avec ma robe bleue toute simple. Elle cita tout les grands noms du monde de la sorcellerie, les pria de lui accorder une grâce aussi infinie que leur présence dans sa mémoire (très bonne d’ailleurs), me réprimanda de cacher ma beauté derrière d’aussi affreuses reluques et enfin appela Jenifer parkinson à la rescousse.
Selon cette dernière, je dois me montrer digne de la beauté que le destin m’a accordée. Je n’ai jamais été aussi gênée de ma vie, je le promets !
Lizzy s’appliqua à ensorceler ma robe et à lui faire subir d’atroces sortileges de decoupe. Je suis sure que mere me tuerai si elle venait à apprendre que j’ai abimé cette « magnifique robe de soie bleu agrementée de fourure de renard bleue, la plus rare sur terre »… mais lizzy resta sourde à mes arguments. Parkinson defit mes chevuex, me maquilla et s’amusa à ensorceler ma tignasse. Maintenant, elle est toujours ammaséée au-dessus de ma tete, mais le resultat est parfaitement harmonieux… j’enfilai ma nouvelle/ancienne robe sur laquelle lizzy s’etait amusée à coller quelque etoiles magiques. A present, elle semblait representer la Voie Lavtée. Elle avait agrandi le col de fourure afin de denuder mes epaules. Elle avait aussi mis une grande ouverture sur le coté qui laissait entrevoir ma jambe. Je dois dire que quand je me suis vue dans le miroir, j’ai faille tomber à la renverse ! je suis epoustouflante ! j’ai l’impression que cette soirée sera la meilleure de ma vie !

Dimanche 26 decembre.
01 h 16.


Je le deteste ! je le hais ! je l’execre ! je le honnis ! je ne pense pas q’un mot puisse arriver à exprimer ce que je ressens…
Comment peut-il etre aussi detestable ! un veritable monstre ! et dire que je suis obligée de passer ma vie avec lui… j’en pleure de rage.
Le bal est fini, je n’entends plus la musique de l’orchestre, mais seulement les rires des derniers serpentards retardataires. Moi, je ne ris plus… je suis seule, face à mon miroir. Et je contemple les vestiges des exploits de mes amies.
Mais reprenons, je dois raconter dans l’ordre. Lorsque j’ai descendu les escaliers, lorsque j’ai traversé la salle de bal, c’est avec plaisir que j’ai constaté que les conversations se taisaient, que les regards me suivaient. Mère m’a appris à ne jamais rougir du succès que l’on remporte car il ne peut être que mérité. Mais ce que j’ai préféré de tout ça, c’est le regard de Lucius qui ne me quittait pas. ses yeux gris étaient devenus deux aimants fixés à chacun des pas que je faisais. Il n’a jamais dû autant me regarder que cette soirée ! Je me suis sentie comme Cendrillon qui sentait que ses abominables sœurs ne pouvaient détacher leurs regards. Lui pour qui j’etais si indifferente…
Durant tout le bal, je n’ai cessé d’aller de conversations en conversations, j’ai papillonné comme j’ai vu si souvent ma mère le faire tout au long de ces interminables fêtes auxquelles on m’obligeait de prendre part. Mais, malheureusement la tranquillité et la liberté ne pouvaient durer.
Alors que j’étais au buffet, occupée à me remplir une assiette, j’ai senti un bras encercler ma taille. Je n’ai pas eu le temps de réagir, ni même de m’étonner, j’étais déjà sur la piste, solidement maintenue dans les bras de Lucius. J’ai essayé de me dégager, mais il n’en a resserré que d’avantage son étreinte. Alors je lui ai écrasé les pieds aussi lourdement que j’ai pu. Mais j’avais beau y mettre toute ma conviction, il affichait un visage de marbre qu’aucun froncement de sourcils ou de mordillements de lèvres ne trahissaient. Seuls ses yeux gris répondaient à mes coups. Ses yeux gris plein de colère et de mépris. Lorsque la chanson s’est achevée, j’ai pensé que mon calvaire était fini, que je pourrais m’extirper loin de ses bras tentaculaires. Mais il ne m’a pas lâchée, non au contraire, ses bras se sont faits plus présents, ses doigts sont entrés dans ma chaire, ses ongles m’ont meurtrie sans pitié et quand la musique a repris, il m’a entraînée dans ses pas.
Trois chansons sont passées, trois abominables et interminables chansons. Pourquoi les font-ils si longues ? Pensent-ils toujours que ce sont toujours des couples bien assortis qui dansent dessus ?
Il relacha enin son etreinte. Je crus que je pouvais m’echapper, mais non. Il aggripa ma main et me traina de force avec lui. Ou il allait, j’allais aussi.
Et les musiques se sont à nouveau enchaînées, aussi enchaînées que je l’étais à mon geôlier. J’ai bien essayé de me débattre, de lui échapper, mais il était trop fort et il me faisait vraiment mal, alors en désespoir de cause, j’ai cessé de lutter et je me suis rangée. Jamais, pour tout le pouvoir du monde, je n’aurais entamé une conversation avec lui et lui ne semblait absolument pas en voir la nécessité. Quant à parler avec les autres… il y a bien eu quelques personnes qui se sont approchées pour entamer une conversation ou m’inviter à danser, mais un simple regard de lucius suffisait à les faire fuir. Seule Elizabeth a été tolérée pour rester à mes côtés. Et encore ! Lassée, écœurée, j’ai décidé de rentrer me coucher. Qu’importait le bal, si je ne pouvais danser à ma convenance ? Qu’importait d’être belle, si je ne pouvais m’amuser à charmer ?
lucius a tenu me raccompagner, impossible de m’en débarrasser. Mais avant de me laisser monter les escaliers qui mènent aux dortoirs des filles, il m’a attrapée par le poignet et avec violence m’a plaquée contre le mur. Un instant, mon cœur a explosé dans ma poitrine et j’ai redouté ce qui allait venir ensuite. Qu’est ce que sa folie pouvait bien lui dicter ? Car j’en suis persuadée, ce type est fou ! Il a approché son visage du mien et ses yeux gris ont empli tout mon champ de vision, j’ai détourné vivement la tête et fermé avec force les yeux. Et puis j’ai senti son souffle dans mon oreille.
" N’oublie jamais, Narcissa, qu’un jour, tu porteras mon nom et ma descendance et pour cette raison tu m’ appartiens pour toute ta vie. Tu te dois à moi. Ne l’oublie jamais, car je ne pardonne rien, jamais et à personne. Tu es à moi ! "
Et puis il est parti.
Quand j’ai entendu la porte se refermer derrière lui, et seulement là, je me suis laissée glisser le long du mur, tremblante de frayeur. Et je crois que j’ai pleuré. Non, je ne le crois pas, je le sais : j’ai pleuré ! Pleuré pour toutes ces années où je me suis tue et pour toutes celles de silence qu’il reste encore à venir. Je pleure sur cette vie qui est la mienne mais qui ne m’appartient pas. Mais, moi, j’appartiens à quelqu’un. Pas de cette manière magnifique dont deux amants s’appartiennent et se murmurent entre deux étreintes : " Tu es à moi, je n’aime que toi et tu n’aimes que moi. ", mais de celle dont un maître possède un esclave et lui dit : " Tu es à moi, tu es ma propriété. Sers bien mon nom. "
Comment mes parents ont-ils pu me faire ca ? vendre son enfant contre un peu de pouvoir, d’argent ou de tranquilité… et comment moi puis-je aimer un etre aussi vil ?


mardi 27 decembre.
18 h 04.


Hier, journée semblable en apparence à toutes les précédentes et toutes les suivantes, hier donc, je me promenais dans les couloirs, parce qu’encore une fois, les regards menacants des Sbires de Malefoy m’agacaient, lorsque j’ai croisé un regard. Je pourrais dire que j’ai vu quelqu’un, son visage, sa démarche, sa silhouette, mais non, je n’ai vu que son regard. Deux yeux noirs, deux perles d’onyx, aussi troublants que les chants des sirènes. Mais emportée par mon élan, cela n’a duré que quelques secondes. j’ai eu beau revenir sur mes pas, ils n’y étaient plus, les deux yeux noirs avaient disparu.
A qui de tels yeux noirs peuvent-ils bien appartenir ? Je ne crois pas en avoir jamais vus de pareils à Poudlard. Ni partout ailleurs…
Lucius me surveille de plus en plus. Je ne peux meme pas faire un pas en dehors de la salle commune de serpentard sans avoir immediatement deux massives silhouettes sur mes pas.

Jeudi 29 decembre.
00 h 17.


Je suis dans mon lit et je n’arrive pas à trouver le sommeil. J’ai l’impression que plus on cherche à l’attraper, que plus on le croit à portée de main, plus le sommeil s’esquive. Les paupières sont lourdes, les bâillements se répètent et pourtant on ne dort pas. Quelqu’un y comprend quelque chose ? C’est peut être parce que dès que je ferme mes yeux ce sont les siens que je vois. Et dès que cela se produit, j’essaye de me souvenir que je ne devrais pas, que je devrais oublier car toute ma vie c’est avec des yeux gris que je vais la passer. Oublier ? mais est-ce possible ?

Vendredi 30 decembre.
16 h 37.


Ca y’est ! je l’ai vu ! je sais enfin à qui appartiennet ces yeux ! j’ai meme parlé à leur proprietaire !
Alors que j’ai delaissé mon lit plus tot que d’habitude pour descendre prendre mon dejeuner en paix, sans etre sous surveillance, je l’ai vu, à la table des serdaigles, en train d’avaler en vitesse des œufs au plats. Mon repas fini, j’ai fait semblant de faire tomber ma baguette en passant pres de sa table. Il a accouru en vitesse et me l’a tendue, arborant un magnifique sourire. Il m’a tendu au passage sa main.
- ceyx keys, 7eme année à poudlard, serdaigle, a-t-il dit.
- Enchantée. Nar…
- Narcissa black, je sais…
Il connaissait mon nom ! j’en etias fiere ! tres fiere et heureuse ! nous nous sommes promenés dans le parc, dans une etendue de neige blanche comme la mort et un ciel aussi gris que les yeux de lucius. Mes qu’importiat lucius à ce moment… seul ceyx comptait ! nous avon bavardé comme de vieux amis et nous nous somme decouverts des passions et des gouts communs… lui aussi deteste les chocogrenouilles !
Certaines personnes disent que l’on ne tombe amoureux qu’en connaissant la personne, qu’apres avoir decouvert tout ses secrets, avoir partagé avec lui des conversations… j’aimerais leur crier qu’ils se trompent ! l’amour frappe quand on s’y attend le moins, quand on a decidé de ne plus y croire…
Et lucius ? ne cessait de me repeter une voix ? il est sur que je l’aime et d’ailleurs, je n’ai pas d’autre choix, ma vie est à jamais liée à la sienne. Mais ceyx aussi, je l’aime. Oui, j’ose le clamer ! j’aime ceyx keys, meme si je ne le connais que depuis quelques heures !

Samedi 31 decembre.
16 h 15.


J’ai decouvert une belle piece au deuxieme etage. Je croyais que c’etait une salle de classe. Mais en fait, c’est une chambre ! que fait une chambre perdue dans ce couloir ? je me le suis demandé… mais qu’importe ! j’y ai emmené mes carnets et calepins de dessin, ainsi que quelques biblots pour la decorer. Ce sera desormais mon refuge, ma cachette. Les sbires de malefoy ne m’ont pas suivie aujourd’hui. Je me demande ce que lucius prepare… a-t-il decouvert pour ceyx ? prepare-t-il une vegeance digne d’hera ?

Lundi 2 janvier.
19 h 47.


Que de joie aujourd’hui ! elle m’enveloppe, m’etouffe presque ! et pourtant, je n’ai jamais été si heureuse de ma vie. Meme lizzy a remarqué que j’etais bizarre et m’a tout de meme conseillé de moderer mes ardeurs, quoiqu’en soit la cause. Elle a raison : lucius pourrait le prendre d’un mauvais œil. Oh ! et puis au diable lucius ! seul ceyx compte à mes yeux ! il est l’origine de ma joie… je l’aime et il m’aime…
Je lui ai montré mon refuge, hier. Juste comme ca ! il m’a proposé d’y installer un sortilege afin que moi seule puisse y penetrer… une sorte de mot de passe. J’ai refusé ! cette chambre n’est pas à moi et la personne à qui elle appartient n’aimerait surement pas la retrouver affabulée d’un mot de passe… il a repliqué que plusieurs endroits etaient abandonnés à poudlard, que je ne devais pas m’en faire… Mais en fait, ma vraie raison est que je voulais qu’il puisse y venir à sa guise lui aussi…
C’est alors, qu’à l’interieur, il m’a embrassé. Ca s’est fait comme ca : il s’est approché, a caréssé mon visage et m’a embrassé. Je prefere garder les details pour moi !
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Candice Aurora R. Lupin
Serdaigle
Candice Aurora R. Lupin


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MessageSujet: Re: Concour du journal intime   Concour du journal intime EmptyMar 21 Mar - 2:12

Vendredi 6 janvier.
19 h 54.


C’est fini… j’en pleure de rage. Lucius nous a surpris à la fin du dejeuner. En fait, je ne suis pas sure qu’il nous aie surpris. Il nous attendais.
Il a aggrippé ceyx et l’a etranglé, tandis que je blemissais de peur. J’avais peur pour ceyx : dieu seul sait ce dont lucius est capable. Je me suis alors precipité pour l’aider mais crabbe et goyle m’ont attrapée et m’en ont empaché. J’aurais voulu leur lancer des avada kedavra.
Apres que lucius ait fini avec ceyx, il le relacha et ce dernier tomba à terre, evanoui.
Je criais et je pleurais, mais malefoy ne semblait pas s’en soucier. Il me regardais d’un air moqueur et semblait savourer cet instant.
- je t’avais prevenue, douce narcissa…
crabbe et goyle me lacherent et disparurent avec leur maitre. J’emmenais ceyx à l’infirmerie et me promis pour son bien de ne jamais le revoir.

Samedi 7 janvier.
14 h 02.


Je l’ai revu aujourd’hui. Je parle de cayx. Bien sur, j’ai essayé de l’eviter, mais il s’accroche. A la sortie de mon cours de sortileges, il m’agrippa et dit :
« Narcissa, je t’en prie ! je t’aime et je ne veux pas te perdre ! moi aussi je sais lancer des sorts !
laisse moi tranquille !
narcissa… s’il te plait !
LAISSE MOI TRANQUILLE ! »
Les regards se tournaient vers nous. N’avaient-ils rien d’autres à faire ? on dirait que les gens n’ont qu’un but dans la vie : se nourrir de la douleur des autres… comme de vulgaires charognards !
Il s’areta net et lanca, d’un ton cinglant :
A croire que c’est ce que tu cherchais !
Machinalement, je le giflais. Comment osait-il ? je pris mes jambes à mon cou et ne sortit plus de ma chambre.
JAMAIS ! je ne veux plus jamais entendre parler d’amour !


Drago referma le livret d'un coup sec. Ainsi sa mere ne croyait plus en l'amour ! A cause de son pere ? C'es pour cela qu'elle etait froide... sans vie !
Jamais il ne pardonnerai à son pere !
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Severus
Invité




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MessageSujet: Re: Concour du journal intime   Concour du journal intime EmptySam 8 Avr - 2:05

Les gagnants sont...

1ere place... Mia M. Gaunt... 20 Points
2eme place... Candice ... 10 points
3eme place... à égalité... Rémus Lupin et Severus ... 5 Points
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MessageSujet: Re: Concour du journal intime   Concour du journal intime Empty

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